Récemment, on est plus audacieux. J’ai dit que nous ne mâchions plus nos actions et que nous ne mâchions plus nos mots désormais. Et donc, nous avons mis beaucoup de ces cruautés animales sur notre [Supreme Master] TV. (Oui, Maître). Et voilà qu´au moins un million de personnes sont devenues végétaliennes (Oh, ouah !) (C’est une bonne nouvelle !) à cause de cela.
Le 19 juillet : « Soyez aimés, soyez libres, soyez noble et en sécurité. Vous êtes Votre propre Maître ». J’ai dit : « Je le sais ». C’est PUO. Cela signifie Protecteurs Dieusses de l’Univers Originel. Alors j’ai dit : « Je le sais. Le problème est d’être le Maître de quelqu’un d’autre, et tous les autres problèmes suivent à cause de ça ». (Oui.) Parce que, être le Maître de quelqu’un d’autre.
Le 19, j’ai dit : « Incroyable ! Une araignée a tissé avec insistance une toile sur mon balcon, pour s’opposer avec zèle à ce que je sorte, parce que "si Vous sortez, la paix règnera". » Ce qui signifie ma paix personnelle. (Oui, Maître). Parce que je n’en pouvais plus. Alors j’ai essayé de sortir un peu plus, juste pour avoir plus de liberté. « Mais maya l’utilise pour me troubler. J’ai finalement utilisé le jet d’eau du tuyau pour le chasser. Avant cela, j’ai accidentellement abîmé sa toile dans un autre coin du balcon, en face, et je me suis excusé à profusion. Et j’ai pensé que c´était bon. Mais ensuite, « il a mangé tous les restes, la toile de soie émiettée ». Vous imaginez ça ? (Oh ouah !) Normalement, quand une toile est abîmée, elle reste là. (Oui.) Mais il a tout mangé ! (Ouah !) Il ne reste rien. Et puis il est allé dans un autre coin et y a fait une autre toile, dans le coin opposé, tout près, à un mètre et demi de distance. « A déménagé, pour faire une autre toile aussi grande », dans le coin opposé, « alors j’ai dû l’inviter à se déplacer vers les arbres. Ce n’est pas juste qu’il fasse cela, parce que j’ai été gentille avec sa famille, (Oui.) avant et toujours. Donc, toutes les araignées ne travaillent pas avec moi ». Je suis en train de lire. « L’autre type est mieux, plus gentil. Les plus plates, qui ressemblent au crabe, sont mieux ». C’est ce que j’ai écrit. C’est tout. Maintenant, je vous laisse poser vos questions. (Merci, Maître, d’avoir partagé cela). C’est bon. Il y en a d’autres, mais peu importe. Nous ne pourrons jamais terminer.
Est-ce que j’ai lu quelque chose sur le 10 juillet ? (Je ne pense pas). Le 10 juillet : « Les écureuils sont venus de partout. » De la montagne où je les nourrissais auparavant, (Oui.) ils ont fait tout ce chemin pour venir me voir. (Ouah ! C’est tellement mignon ! C’est gentil). Oh, tout le groupe. Et j’ai pensé qu’ils avaient faim. Je voulais leur donner à manger. J’ai donné tout ce que j’avais, mais ils n’ont pas mangé. Ils sont juste venus et m’ont dit quelque chose.
Et un autre : une découverte. Parce que je lis certaines des histoires du Bouddha. (Oui, Maître). Le Bouddha a dit que certaines divinités des arbres, (Oui.) elles ont aussi des enfants. J’ai dit : « Comment font-elles des enfants ? Ont-elles un mariage et un mari et tout ça ? » Elles ont dit : « Non, elles ne font que des fruits ». Par conséquent, chaque fois que nous mangeons les fruits, nous leur faisons mal. Je vais le lire. Je n’ai pas les lunettes. Je dois mettre des lunettes même si j’ai l’air mieux sans lunettes, non ? Peu importe. « Les divinités des arbres font des enfants pour produire. » Je leur ai demandé : « Pourquoi faites-vous des enfants ? Vous faut-il vraiment des enfants ? » Elles ont dit qu’elles les font juste pour contribuer. « For yield » (pour produire/donner), c’est ce qu’elles ont dit. Yield. Y-I-E-L-D (produire/donner). Je suppose, pour la contribution, n’est-ce pas ? (Oui, je pense). « Yield », pour donner. Et c’est le fruit. « Ainsi, en leur prenant les fruits, on fait mal aux arbres. Ils n’ont pas besoin de partenaires pour faire des enfants, juste magie » (Ouah.) Je me souviens d’une fois, j’ai lu quelque chose sur le Seigneur Mahavira, il a conseillé à Ses disciples de ne pas prendre les fruits des arbres. Les fruits comme le concombre, ça va. La pastèque, OK. (Oui.) Ces types de melons ou peut-être des types similaires à ces courges, et des trucs comme ça. (Oui.) Je pense que c’est pour ça. Je pense maintenant ces deux-là et ces deux-là ensemble.
Alors, les écureuils sont venus. J’ai oublié. Entre les deux, j’avais les arbres, et maintenant je me souviens des écureuils. Quand ils sont arrivés, ils ont juste couru autour de moi pendant un moment, et ont gazouillé et parlé et dansé (Oh, ouah.) et m’ont parlé de cela. Alors, les écureuils sont tous venus et ont dansé tout autour. Et quand je leur ai parlé, je leur ai dit : « Hé, comment ça va, les copains ? Merci d’être venus rendre visite ». Et les écureuils se sont couchés à plat ventre. (Ouah !) Ils ne m’ont pas fui, ils sont juste restés à plat ventre en silence, me regardant et écoutant pendant que je parlais. (Tellement mignon !) (Oui.) J’ai aussi été surprise. Je n’avais jamais vu cela auparavant.
Normalement, les écureuils sauvages, quand on s’en approche, ils s’enfuient. (Oui.) Mais eux s’allongent simplement à plat ventre, à plat sur le tronc d’arbre. À plat, vraiment à plat ! Aussi plat que possible, comme s’ils se prosternaient. (Ouah !) Et ils me regardaient et continuaient à écouter jusqu’à ce que je finisse. Je ne sais plus ce que je leur ai dit. Je ne fais que, vous savez, bavarder entre filles, je suppose. « Merci d’être venus », et tout ça. « Vous avez faim ? » ou quelque chose comme ça. « Vous avez bien mangé là-bas ? » ou « Vous voulez rester ici, ou pas ? » Et puis ils ont disparu aussi vite qu’ils sont venus, après cela. Je n’en vois plus aucun depuis. (Ouah.) Je pensais qu’ils resteraient. Non, ils sont juste venus me dire des choses et puis ils sont partis.
Je dis, donc : « Quand on leur parle, l’écureuil se couche à plat ventre ». L’un d’eux. Et les autres, je n’ai pas eu la possibilité de les voir tous. (Oui.) Juste devant moi, à peu près 50 centimètres. (Ouah.) Sur le tronc d’arbre devant mon balcon. Donc, quand j’ai parlé, il s’est juste couché à plat ventre. J’ai regardé les autres, c’était pareil. Et tous me regardaient. Quand je leur ai parlé, ils se sont tous tournés vers moi et ont écouté. Ils ne gazouillaient plus. Ils ne parlaient pas, ils ne bougeaient pas. Et puis j’ai dit : « Pourquoi êtes-vous allongés à plat ventre ? » Ça a l’air très étrange. Il a dit : « Rendre hommage au Maître ». C’est ce qu’il a dit. (Ouah.) Alors maintenant, et puis il... Qui a dit ça ? Juste un instant. Oh, ils ont aussi dit : « Soyez miséricordieuse envers un disciple déloyal ». Ils ont mentionné le nom de cette personne. Oui, je le sais, elle m’a aussi révélé quelque chose de choquant. On ne sait jamais comment sont les gens à l’intérieur. (Oui.) En regardant seulement l’extérieur, on ne sait jamais.
Et le 11, j’ai dit : « Mon Dieu, je ne peux pas croire que certains soient si mauvais ou si mal influencés. Et ma vie doit toujours être en difficulté comme ça ? Vous savez que je ne le mérite pas, n’est-ce pas ? Eh bien, Vous me l’avez dit aussi. OK. Merci ». Fini.
Je veux dire qu’il y en a plus, mais ça suffit pour l’instant. Ce sont les choses que vous êtes curieux d’entendre. Pour le reste, demandez-moi et je serai heureuse de vous répondre, parce que vous avez rassemblé des questions, non ? (Oui, Maître). Et c’est ainsi que cette conférence a lieu. (Oui. Merci, Maître). Je suis heureuse. Je suis contente que vous demandiez quelque chose, parce que c’est toujours bon pour le monde. Parce que quoi que vous demandiez, c’est une question de type humain, et beaucoup d’autres humains, vos frères et sœurs, aimeraient entendre vos questions ou entendre les réponses parce qu’ils n’ont pas la possibilité de me les poser. (Oui.) Et cela pourrait être bon pour les gens du monde aussi, s’ils écoutent. (Oui.) Je n’espère pas, mais je prie pour qu’ils écoutent et cela les aidera.
Récemment, on est plus audacieux. J’ai dit que nous ne mâchions plus nos actions et que nous ne mâchions plus nos mots désormais. Et donc, nous avons mis beaucoup de ces cruautés animales sur notre [Supreme Master] TV. (Oui, Maître). Et voilà qu´au moins un million de personnes sont devenues végétaliennes (Oh, ouah !) (C’est une bonne nouvelle !) à cause de cela. Même si c’est très, très cruel. Chaque fois que je vois une de ces images de cruauté, je crie et je pleure. Ça me dérange plusieurs jours. Et je crie vers tous les Cieux. Je leur dis : « Il faut faire quelque chose ». Je souhaite avoir plus de temps pour... OK, peu importe. À vous maintenant, s’il vous plaît. ( OK, Maître. ) Yeah.
( Maître, en raison du COVID-19, 265 millions de personnes risquent une « pandémie de famine » selon les experts. Le directeur exécutif du Programme alimentaire mondial, David Beasley, a déclaré au Conseil de sécurité de l’ONU que « nous pourrions être confrontés à de multiples famines de proportions bibliques d´ici peu de temps ». Y a-t-il quelque chose que les gens ou les disciples peuvent ou doivent faire pour se préparer au cas où cela se produirait ? ) Oh, oui. Souvenez-vous je vous ai lu mon message avant que vous ne posiez vos questions, (Oui.) le premier message que j’ai écrit dans mon journal le 24 juillet ? (Oui, Maître). Je viens de vous le lire. (Oui Maître.) J’ai dit : « Autonomie autant que possible ». (Oui.) Même si vous avez un balcon, vous pouvez planter des choses à manger. Si vous avez de la terre, plantez des cultures, plantez des légumes, plantez des arbres fruitiers. Soyez aussi autonome que possible. Quiconque.
En fait, je voulais vous dire cela il y a longtemps, lors du premier appel urgent aux dirigeants, mais j’ai oublié. C’est resté dans un coin de ma tête jusqu’à ce que ça refasse surface, des jours avant le 24 juillet même, jusqu’à ce que j’ai le temps d’écrire dans mon journal et de vous le dire avant que je n’oublie à nouveau. Il y a beaucoup de choses que j’oublie d’écrire ou que je n’ai pas le temps d’écrire, même les visions spirituelles ou les messages spirituels. Vous n’avez aucune idée à quel point je suis occupée ! (Oui, Maître). Toute personne qui écoute, et les disciples, bien sûr. Plantez des aliments biologiques autant que vous le pouvez. Autonomie autant que possible. (Oui. Merci, Maître). C’est pourquoi j´avais une envie pressante de passer ce message, mais ensuite j’ai retardé jusqu’à aujourd’hui. Au moins, nous l’avons maintenant. (Oui.)
( Une autre question : les animaux d’élevage industriel sont tués parce que les usines de transformation ont été fermées et qu’il y a une surabondance d’animaux. Cela va-t-il aggraver la pandémie de COVID-19 en raison du karma accru qui en résulte ? ) C’est la même chose. Qu’ils tuent ou non des animaux pour la consommation ou qu’ils les abattent pour cause de surplus, c’est la même chose ! (Oui, Maître. C’est vrai). Quoi que vous fassiez aux animaux, vous l’aurez. (Oui.) C’est la même chose. Nous n’aurions jamais dû créer autant d’animaux par insémination ou par un moyen artificiel ou, quoi qu’il en soit, par des moyens naturels pour ensuite les tuer. (Oui, Maître). Ou bien on leur enlève leurs bébés, on leur enlève le lait pour le bébé, et on met en quarantaine les pauvres petits veaux dans une cage pour que leur viande devienne tendre, et on les tue. Tuant la mère, tuant les enfants. Oh ! (Oui, c’est horrible). C’est terrible, horrible. Nous nous transformons, nous, la race humaine, en une race si meurtrière, c’est si horrible. Vous vous souvenez, enfants, nous lisions beaucoup d’histoires sur les sorcières (Oui, Maître.) qui attendent quelque part dans la forêt ou ailleurs pour attirer les gens ou les enfants pour manger ? (Oui.) Nous faisons la même chose avec les animaux. (Oui.) L’histoire est la même. (Oui.)
( Pour certains patients, certains symptômes du COVID-19 persistent même des mois après leur rétablissement officiel. Par exemple, l’essoufflement. Et certains développent même de nouveaux symptômes : cerveau embrouillé ou fatigue. Peut-on guérir complètement ? ) Non. (Oh, ouah. Mon Dieu.) S’ils sont moins affectés, alors ils ne le sont pas. Mais s’ils sont déjà affectés, alors ça continue ou ça reste en sommeil. (Oui, Maître.) Les gens pensent que ce n’est qu’une grippe ordinaire. Ça ne l’est pas. J’ai lu dans les journaux que beaucoup de gens, y compris des prêtres et tout ça, prennent à la légère le COVID-19, et ont attrapé eux-mêmes la maladie et sont morts. (Oui.) C’est pourquoi je continue à vous dire, même si je suis en retraite, je ne devrais pas me montrer comme ça, mais je m’inquiète. (Oui. Merci, Maître.) Je dois le dire, et ceux qui écoutent, pourraient sauver leur vie. (Oui, Maître.) (Merci Maître.) Et aussi parce que le mérite est trop faible. Si vous avez plus de mérite, vous pouvez peut-être vous en remettre. (Compris, Maître.) Mais si c´est déjà gravement infecté et détérioré, alors non. Vous avez peut-être un médicament ou quelque chose pour l’arrêter, mais vous ne pourrez pas vous en remettre complètement. (Compris.) OK.
