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Le fantôme zélé déclarant à tort qu’il est le Bouddha Maitreya, partie 5/9

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Les démons, les monstres et les fantômes ont un certain pouvoir d’attraction parce qu’ils sont différents de la norme humaine. Nous, les humains, avons aussi du pouvoir, mais il est supprimé parce que nous avons fait des choses qui suppriment tout notre pouvoir ou nous avons fait le vœu de travailler sans pouvoir parce que dans le monde de maya, qui est ce monde, vous n’avez pas le droit d’utiliser le pouvoir. Si vous venez du Ciel, vous n’avez pas le droit d’utiliser du pouvoir magique évident pour attirer les gens. Seuls les démons, les monstres et les diables peuvent le faire parce qu’ils contrôlent ce monde depuis longtemps.

Ainsi, Quiconque est venu du Ciel doit en quelque sorte signer un contrat pour être discret, pour travailler discrètement, sinon gare. Mais pour être un Maître, on ne peut pas travailler discrètement. Tôt ou tard, les gens le diront aux uns et aux autres, ils le diront partout, et le Maître se retrouve toujours dans le pétrin. Citez-moi un Maître qui n’a pas d’ennuis. Non, aucun. Aucun des vrais Maîtres n’a vécu une vie paisible et merveilleuse. Eh bien, bien sûr, à une époque où la paix régnait dans certains pays pacifiques – probablement des Maîtres chanceux, mais rarement, rarement. La plupart du temps, Ils ont été tourmentés toute Leur vie et sont morts brutalement ; si c’est un vrai Maître, c’est comme ça. Parce que le maya sait Qui sont les vrais Maîtres, alors ils s’en prendront à Eux pour entraver et/ou éliminer les Maîtres et Leur enseignement !

Ces moines minables et ces moines prêcheurs d’idioties... J’ai même vu un moine, un moine bouddhiste, qui prêchait à ses disciples – à ses moines et nonnes fidèles – que « il n’y a pas de Terre du Bouddha Amitābha ; ce n’est qu’une théorie. Et de même, l’enfer n’existe pas. Le concept d’enfer a été introduit il y a 500 ans. » Non, non ! À l’époque du Bouddha, l’enfer existait déjà. C’est pourquoi Son disciple Mục Kiền Liên (Maudgalyāyana) a dû aller en enfer, puis revenir et supplier le Bouddha de sauver Sa mère, qui avait trompé les moines et leur avait donné à manger de la viande (d’animal-personne) en leur disant que c’était de la nourriture végane. Et celui (Roi Virūḍhaka) qui a détruit le clan du Bouddha est également allé directement en enfer, immédiatement après cela. Après avoir tué et massacré brutalement le clan du Bouddha, lui (le roi) et toute son armée ont été noyés dans une inondation – ils sont morts soudainement comme ça, tous – et sont allés en enfer, Avīci ou l’enfer implacable. C’est dans le Sutra bouddhiste ; ce n’est pas moi qui le dis !

« Le clan Shakya ordonna alors l’ouverture des portes de la ville. À ce moment-là, le roi Virūḍhaka dit à ses ministres : "À présent, les membres du clan Shakya sont nombreux ; les épées et les couteaux ne peuvent pas les blesser tous. Il faut donc les enterrer vifs dans le sol et, plus tard, demander à des éléphants féroces de les écraser à mort." À ce moment-là, les ministres ont obéi à l’ordre du roi et ont utilisé des éléphants pour écraser ces gens à mort. [...] L’Honoré du Monde a dit aux bhikkhus : "Maintenant, le roi Virūḍhaka et son armée ne resteront pas longtemps dans ce monde. Au bout de sept jours, ils seront détruits." Le roi Virūḍhaka a envoyé des gens pour compter les jours, et au début du septième jour, le roi était fou de joie et ne pouvait se contenir. Il emmena les troupes et les femmes assistantes sur les rives de la rivière Aciravatī pour passer du bon temps et s’y reposer. À minuit, des nuages inattendus se rassemblèrent et un vent violent et une forte pluie s’installèrent très rapidement. Le roi Virūḍhaka et les soldats furent emportés par les eaux, et tous périrent, leurs corps détruits, et leurs vies finirent dans l’enfer Avīci. Il y eut aussi un feu Céleste qui brûla le palais de la ville. [...] Alors l’Honoré du Monde récita un verset : "Les actions diaboliques sont vraiment accablantes, Toutes dues aux actions du corps et de la bouche. Ce corps souffre et est éphémère, S’il est à la maison, Il sera brûlé par le feu, Quand la vie s’achèvera, On naîtra sûrement en enfer." »

Alors comment ce moine, qui est censé être un moine célèbre et de haut rang monastique – il s’appelle Thích Nhật Từ – peut-il prêcher et dire à ses gens qu’il n’y a pas d’enfer ni de Terre du Bouddha Amitābha ?

Extrait de « L’enfer est-il réel ou non ? – Thích Nhật Từ » : D’après le bouddhisme Theravada, il est clair que l’image de l’enfer n’est qu’un moyen d’éducation morale, car si tout le monde renaissait immédiatement, alors il n’y aurait pas d’enfer.

Extrait de « Thích Nhật Từ : Le royaume de la Terre Pure Occidentale n’existe pas. » : La récitation du Nom du Bouddha peut-elle conduire à la renaissance dans la Terre Pure Occidentale de la félicité ultime ? La réponse, selon l’histoire et basée sur le 18e sutra du Dīgha Nikāya, est non. Parce que la Terre Pure Occidentale de l’Ultime Félicité n’est pas réelle.

Mes disciples sont même allés sur la Terre du Bouddha Amitābha et ont décrit à quoi elle ressemble.

Un voyage au Paradis – Paradis de l’Ouest d’Amitābha ou « Terre pure d’extrême félicité »

Ainsi, maintes personnes peuvent voir la Terre du Bouddha Amitābha. Comment pouvez-vous, en tant que moine, dire que la Terre du Bouddha Amitābha n’existe pas ? Il a dit que c’était « juste un concept »... et qu’il n’y a même pas d’enfer. Ouah, ouah, ouah ! Espérons qu’il n’aura pas à aller en enfer pour le découvrir. Il y a une nonne qui a écrit son expérience de l’enfer. Elle vendait des poulets-personnes et des canards-personnes, et elle est allée en enfer et ils l’ont punie. Elle a presque dû partir pour toujours, mais parce que la Bodhisattva Quan Yin est intervenue et l’a aidée... Elle a dû être punie pendant un certain temps, temporairement. Puis elle a été libérée et est revenue pour continuer sa pratique de nonne avec plus d’assiduité.

Extraits de L’histoire passionnante d’une nonne vietnamienne qui est allée en enfer ; maintes vérités révélées : Il était environ 10 heures du matin lorsque je me suis retrouvée dans un paysage magnifique, avec des arbres verdoyants. Il y avait un très long pont. J’ai marché sur le pont pendant un moment, puis il s’est effondré. Je suis tombée dans une rivière et j’ai lutté pour nager, mais je n’ai pas pu atteindre la rive. Étrangement, la rive était juste là, mais je ne pouvais pas l’atteindre, quelle que soit la force avec laquelle je nageais. À ce moment-là, je me suis sentie perdue et j’ai eu très peur. Peu à peu, le courant m’a portée jusqu’à la porte de la mer, et l’eau est devenue très froide, me transperçant le cœur et le foie.

J’ai regardé autour de moi et j’ai vu que je n’étais pas seule ; d’innombrables personnes dérivaient avec le courant dans cette mer froide. Ils étaient Occidentaux, Asiatiques, jeunes et vieux, hommes et femmes. Je me sentais gelée et mon corps se raidissait. Submergée par la peur, j’ai entendu une voix venant d’en haut dire : « Récite le nom du Bouddha ! ». J’ai essayé de toutes mes forces de réciter, mais il m’a fallu beaucoup de temps avant de pouvoir prononcer le mot « Bouddha ! Bouddha ! » Peu à peu, j’ai été capable de réciter « Bouddha Amitābha ». Puis la phrase complète : « Namo Bouddha Amitābha ». Grâce à cela, je me suis sentie beaucoup plus à l’aise. À ce moment-là, je me suis tournée vers les deux personnes à mes côtés et j’ai récité le nom du Bouddha pour les aider.

Enfin, j’ai été amenée dans un grand château, avec des montagnes imposantes derrière lui. En montant dans le château, j’ai été horrifiée de voir des êtres terribles à tête de taureau et des êtres au visage de cheval, ainsi que les innombrables et énormes Rois Démons, tous aussi imposants que des montagnes. L’un des Rois Démons m’a conduite alors vers une porte, qui s’est ouverte automatiquement, révélant une Lumière rayonnante incroyablement magnifique et belle. À ce moment-là, j’ai reconnu le Majestueux Bodhisattva Kṣitigarbha, le Bodhisattva Avalokiteshvara et le Bodhisattva Cundi majestueusement assis sur Leurs trônes. J’ai immédiatement incliné la tête et me suis agenouillée en signe de révérence devant les Trois. Les Trois Bodhisattvas m’ont ensuite guidée pour que je me confesse et me repente de mon mauvais karma. Une fois le repentir achevé, les deux Rois Démons m’ont amenée dans les enfers, entamant un voyage sans précédent et terrifiant. Les enfers étaient vraiment immenses et ne pouvaient être traversés sans les pouvoirs surnaturels des Rois Démons.

La première porte de l’enfer qui s’ouvre est celle de l’Impiété filiale. Ce qui attire mon attention, ce sont les horribles pointes de fer sur une plate-forme géante, de forme circulaire, sur laquelle se trouvent un nombre incalculable de personnes. Les Rois Démons poussent les âmes pécheresses qui flottent dans les airs, puis elles sont écrasées par des rochers qui tombent d’en haut les empalant sur des pointes de fer épaisses comme des doigts, le sang jaillit à profusion. Ce châtiment, comme tous les autres, se répète à l’infini. Ailleurs, il y a des tables glacées où les âmes gisent et s’assoient en désordre, glacées jusqu’à l’os. Les deux Rois Démons disent que c’est la conséquence d’avoir abandonné des parents à la faim et au froid.

Ensuite, on m’a amenée dans le second enfer appelé Avici (enfer ininterrompu) Les âmes y sont envoyées pour avoir commis 80 types de fautes différentes, telles que les pratiques commerciales frauduleuses, le vol et le préjudice causé à autrui, l’usure, l’exploitation des travailleurs et les disputes entre frères et sœurs pour l’héritage. Les châtiments sont variés ici, parmi eux : du cuivre bouillant est versé dans les bouches, les langues sont arrachées et coupées, les mains et les pieds sont tranchés, ils laissent des serpents et scorpions mordre et déchirer la chair. Etc. Les âmes coupables hurlent de terreur. S’il y avait une caméra pour enregistrer cela, aucun film d’horreur ne pourrait s’y comparer. Quiconque l’a vu préférerait mourir plutôt que d’oser commettre un péché.

Ensuite, on me conduit dans l’Enfer des dix grands maux, où il y a de nombreux instruments de torture tels que des broyeurs, des clous perforants, des piliers de cuivre enflammés. Etc. Il y a un chaudron extrêmement énorme, semblable à un grand lac, rempli de gens qui se tordent et crient tandis qu’ils montent et descendent. Ici, les âmes coupables sont condamnées pour des péchés tels que le meurtre, l’avortement, l’adultère, l’inceste, la prostitution. Etc.

Ensuite, il y a l’enfer de feu. Tout y est embrasé, réservé aux enseignants et aux étudiants qui ont commis des péchés, tels que les enseignants qui retiennent le savoir, qui enseignent un mauvais programme, qui manquent de conscience, qui font du mal à leurs étudiants et les étudiants qui frappent ou tuent leurs enseignants. Etc.

Ensuite, c’est l’enfer des douze grands maux, réservé aux douze péchés majeurs qui mettent la société en danger. Il est extrêmement difficile pour les âmes condamnées ici de s’échapper et de renaître dans d’autres royaumes. Dans cet enfer, il y a une mer d’eau glacée, avec des monstres féroces qui se cachent sous la surface, et au-dessus, se trouvent divers appareils de torture qui font froid dans le dos.

Rencontrant de nombreux moines et nonnes en enfer

J’ai été choquée de reconnaître ma tante parmi les innombrables âmes présentes. Elle était traînée par des démons à tête de bœuf et à visage de cheval, qui tailladaient et entaillaient son corps sans relâche, le sang et la chair étaient répandus partout. Si quelqu’un tentait de s’échapper, il était immédiatement poignardé par les crochets de fer suspendus au-dessus de lui. J’ai essayé d’appeler ma tante, mais les âmes ici ne semblaient pas avoir d’oreilles et ne pouvaient entendre. De son vivant, sous l’ancien régime, ma tante a fait du trafic de drogue provenant du Cambodge pour la revendre dans le pays. Elle menait une vie de luxe, avec une abondance d’argent, de maisons et de voitures, tandis que ses enfants dépensaient sans compter. Après 1975, le karma l’a vite rattrapée. Sa richesse s’est entièrement dissipée, ses enfants sont devenus non filiaux, s’éloignant dans divers endroits. Lorsqu’elle est décédée, il n’y avait même pas assez d’argent pour lui acheter un cercueil. Mais les gens du monde ne peuvent voir qu’une petite fraction de ce châtiment karmique, ignorant que les conséquences sont des millions ou des milliards de fois plus horribles ici-bas, en enfer.

Les faux cultivateurs sont sévèrement punis

La prison suivante à laquelle j’ai été conduite s’appelle le Grand Avīci. Comme son nom l’indique, cette prison est beaucoup plus grande que les autres prisons, avec une atmosphère lugubre et d’horreur difficile à décrire. Cette prison est destinée aux faux moines de différentes religions telles que le bouddhisme, le christianisme, l’islam et bien d’autres religions. Elle comprend des centaines de péchés différents, tels que réprimander les vrais moines, abuser de l’argent et des biens publics, enfreindre les préceptes et la discipline morale, placer des membres de la famille au pouvoir dans le temple, se faire passer pour des moines pour le profit, bâtir de faux temples pour le profit, donner de fausses explications sur les enseignements du Bouddha, empêcher les gens de voir la vérité. Etc.

Les Rois Démons m’ont montré un moine promu au rang de Vénérable, âgé d’environ 70 ans, vêtu d’une robe jaune, assis sur un lit de piques, les bras et les jambes mordus par des chiens, et les yeux picorés par des corbeaux, couverts de sang. Il a mal interprété les enseignements bouddhistes, donnant souvent de fausses explications, prêchant fréquemment et attaquant les moines authentiques. En outre, il utilisait les offrandes à des fins personnelles, achetant des maisons sous le nom de membres de sa famille, accumulant ainsi un lourd karma.

Enfin, après m’avoir amenée à travers plusieurs royaumes infernaux, les Rois Démons m’ont ramenée au lieu d’origine, où je me suis respectueusement inclinée devant les trois Bodhisattvas : Bodhisattva Avalokitesvara, Bodhisattva Kṣitigarbha et Bodhisattva Cundi. Après s’être inclinés, les Bodhisattvas m’ont demandé de chanter le Nom du Bouddha et de me laisser guider par Eux. Je me suis vue m’élever dans les airs, revenir dans le monde des humains et réintégrer mon corps. Il était midi, ce qui marquait la fin de mon horrible voyage en enfer.

De nombreuses histoires ! Pas seulement celles des nonnes ; j’indique que c’est une nonne parce qu’elle ne vous mentirait pas. Bien que certains moines et nonnes mentent pour leur propre profit. Je ne sais pas pourquoi. Ils n’ont vraiment pas étudié le bouddhisme. Ils n’ont pas peur du karma. Ou peut-être qu’ils viennent de l’enfer ou qu’ils sont les enfants du Roi Mara, car il a fait le vœu d’envoyer ses enfants comme moines et nonnes pour détruire le bouddhisme. Sinon, ils n’auraient pas dit de telles choses.

Parce que le bouddhisme, la Terre du Bouddha Amitābha est si populaire. Beaucoup de gens ne peuvent pas faire grand-chose, alors ils récitent juste le Nom du Bouddha Amitābha parce qu’Il a une Lumière illimitée ; Sa Lumière brille partout, même en enfer, bien que les gens de l’enfer ne puissent pas la voir. Les gens croient donc beaucoup au Bouddha Amitābha parce qu’Il est célèbre et que Sa méthode de libération est facile selon le bouddhisme. Les gens récitent « Bouddha Amitābha » sans arrêt, avec une grande concentration, et imaginent aussi, visualisent Sa Terre telle que Bouddha Shakyamuni leur a décrit.

C’est parce qu’une fois, le Bouddha Shakyamuni a répondu à la prière d’une Reine, a eu pitié d’Elle, a utilisé Son corps de Lumière pour aller dans une prison, où la reine était incarcérée, pour Lui enseigner cette méthode de récitation du Nom du Bouddha Amitābha, de sorte qu’Elle a été libérée après Sa mort. Ils renaîtront dans la Terre de Bouddha Amitābha à différents niveaux, du plus bas au plus haut progressivement avec le temps. Cela dépend de votre sincérité, de votre degré de concentration lorsque vous récitez le Nom du Bouddha et lorsque lorsque vous visualisez Sa Terre Sainte.

« Après L’avoir vénéré, la Reine Vaidehi leva la tête et vit Bouddha Shakyamuni, l’Honoré du Monde. [...] “Je Te prie, Honoré du Monde, de me révéler une terre sans chagrin et sans affliction où je pourrai renaître.[…]” Alors l’Honoré du Monde dit à Vaidehi : “Sais-Tu qu’Amitābha n’est pas loin ? Fixe Tes pensées sur cette Terre de Bouddha et contemple-la. […]” “Dans chaque région de cette terre parée de bijoux, il y a cinq cent kotis (cinquante milliards) de pavillons ornés de joyaux dans lesquels d’innombrables Devas jouent de la Musique Céleste. Il y a aussi des instruments musicaux suspendus dans le ciel, qui, comme ceux des bannières Célestes ornées de joyaux, produisent spontanément des Sons même sans musicien. Chaque Son proclame la vertu de la pleine conscience du Bouddha, du Dharma et de la Sangha. Lorsque cette contemplation a été accomplie, on l’appelle la perception générale des arbres de joyaux, du sol de joyaux, et des étangs de joyaux de la Terre de la plus Grande Félicité. C’est une visualisation composite, appelée la sixième contemplation. Ceux qui ont perçu ces objets seront débarrassés du karma maléfique extrêmement lourd qu’ils ont commis au cours d’innombrables kalpas (éons) et naîtront certainement, après la mort, sur cette Terre.” » ~ Sūtra Amitāyurdhyāna

Le Bouddha Amitābha est l’un des Bouddhas les plus aimés. Donc, si vous êtes moine bouddhiste et que vous dites que la Terre du Bouddha Amitābha n’existe pas, je ne sais pas comment les gens vont réagir. Moi-même, je refuse ce genre de discours. Ce sont des bêtises. C’est absurde. C’est inexistant. C’est anti-Buddha ! C’est un manque de respect envers le Bouddha Amitābha et envers tous les Bouddhas, envers tous les Bouddhistes, un manque de respect envers le Bouddha Shakyamuni sous le nom Duquel il (Thích Nhật Từ) est devenu moine, et est devenu célèbre, bien connu et suivi par de nombreux fidèles bouddhistes qui lui font confiance. C’est un manque de respect pour tout l’ensemble du bouddhisme.

Je ne comprends donc pas aujourd’hui quel genre de moines les gens sont devenus. Jugez-en par vous-même. Je vous dis simplement la vérité. C’est ce qu’a dit ce M. Thích Nhật Từ. Vous pouvez lire son discours. Et il dit aussi des gros mots en public. C’est la vérité. Je ne veux pas juger ou autre. Je vous dis simplement la vérité. Vous pouvez regarder sur YouTube ou sur Internet. Il se trouve que je l’ai vu. Et des membres de mon équipe l’ont imprimé et me l’ont donné à lire aussi. Nous pourrions peut-être partager cela s’ils peuvent le retrouver, certains de ses discours. Et même enseigner aux adeptes comment avoir des relations sexuelles et des choses comme ça. Faut-il un moine pour enseigner de telles choses ? De nos jours, ils peuvent le lire n’importe où.

Extrait de « Nouvelles choquantes » ; Les gens ch*ent sur la tête, ch*ent sur la tête, ch*ent sur la tête du Bouddhisme, ch*ent sur les têtes des moines et des nonnes, et ch*ent sur la pratique et l’étude du Bouddhisme.

Extrait de « Le faux moine Thích Nhật Từ prêchant sur le sexe » : En termes de karma, si vous utilisez des outils pour satisfaire vos désirs sexuels, ce n’est pas considéré comme un péché. Le Bouddha ne considérait pas non plus cela comme un péché.

Ils l’ont même avant que tout le monde soit né. Avant même que nous sachions que nous avons cette planète, les humains savent déjà ce qu’il faut faire pour de telles choses. Il n’est pas nécessaire qu’un moine parle de ces choses. Il dit n’importe quoi. Cela dépasse ma compréhension. Mais comme l’a dit le Bouddha, en cette Ère de Fin du Dharma, les moines ne sont pas des moines.

Photo Caption: Vous protéger même en étant en lambeaux !

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